Carrière d’avenir: boucherie de détail

Les modes de consommation ont beaucoup changé ces dernières années et le métier de boucher a dû s’adapter aux nouvelles tendances.

De plus en plus, les consommateurs recherchent des produits locaux et biologiques, des mets plus raffinés ainsi qu’un service personnalisé.

Ces nouvelles exigences coïncident avec le retour en force des boucheries de quartier où le travail est beaucoup plus varié que dans les supermarchés. Un point intéressant pour ceux qui préfèrent l’action à la routine.

La formation suit donc le rythme imposé par les consommateurs:

  • La fabrication de charcuterie a pris du galon (poitrine de canard fumé ou séché, fabrication artisanale de prosciutto, saumon fumé, gravlax, etc.)
  • La fabrication de viande vieillie, un produit recherché pour sa texture, sa couleur et sa saveur, n’a plus de secrets pour les finissants.
  • La maîtrise de l’ensemble des techniques qui permettent de désosser les pièces de viande leur sert à préparer de plus en plus de produits haut de gamme comme la caille, le lapin ou le canard. Un art quasi chirurgical!

Plus que jamais, le boucher demeure la référence quand vient le temps de conseiller la clientèle sur le choix des morceaux, la façon de les apprêter et les temps de cuisson.